Qui pourrait croire qu’un minuscule organisme à l’anatomie plus que rudimentaire, fixé sans possibilité de se déplacer, puisse former d’énormes colonies. Ce petit organisme existe bel et bien. C’est un animal que l’on a très longtemps considéré comme une plante : le polype de corail. Et celui qui nous intéresse aujourd’hui héberge des algues microscopiques et construit des structures, considérées comme les plus importantes érigées par un être vivant, dont certaines sont visibles de l’espace : le corail dur ou scléractiniaire (1).
Les crabes terrestres font partie du Sous-Ordre des Brachyures. Ils sont certainement les plus développés des crabes et certains représentants de la superfamille des Brachyrhyncha sont intéressants pour l’aquarium d’eau douce.
Dans les années 1970, les poissons des Caraïbes étaient bien plus fréquents dans le commerce aquariophile. Cependant, au fil des années l’accent des aquariophiles marins s’est placé sur les coraux et les poissons-papillons ont perdu de leur intérêt. Ce n’est que depuis quelques années que quelques amateurs ont essayé d’intégrer les poissons papillons dans des bacs récifaux.
Ca n'arrive qu'une fois par an et cette année c'était dans la nuit du 8 au 9 novembre. Sur la Grande barrière australienne, les coraux ont relachés simultanément des milliards d'ovules et de spermatozoïdes. Après plusieurs épisodes de blanchissement, dont l'un très grave l'an dernier, cette reproduction sexuée est un signe d'espoir.
La revue « Conservation letters » a publié les conclusions de plus de 20 ans de recherches sur le commerce du corail vivant destiné aux Etats-Unis. Cette recherche, conduite par une équipe de chercheurs venant des universités Roger Williams (Bristol) et de Boston, de l’organisation Conservation International et du New England Aquarium, a pour titre « Tendance à long terme des importations de corail aux Etats-Unis ».