Le mot killie vient du vieil hollandais « kil » qui signifie « petit ruisseau ». Mais on retrouve aussi l’appellation killis.
Le brochet commun, Esox lucius linnaeus, 1758, est répandu dans toute la France (comme dans tout l'hémisphère nord) ; deux autres espèces locales peuvent cependant être mentionnées : Esox aquitanicus et Esox cisalpinus.Le premier, Esox aquitanicus est présent de la Charente jusqu'aux Pyrénées (bassin de l'Adour) et le second dans les Alpes car très présent en Italie du nord. Seuls, quelques détails comme les marbrures, une couleur ou la taille du "bec" permettent aux spécialistes de faire la différence.
De nombreuses espèces d’écrevisses sont présentes dans le hobby de l’aquariophilie. Nous écarterons ici les espèces marines. Dans le commerce ou dans les bourses de clubs, certaines espèces sont proposées alors qu’elles ne devraient pas l’être.
La carpe chinoise herbivore est originaire du bassin des eaux tempérées du fleuve chinois Yang-Tze et du fleuve asiatique Amour dont le cours s’étend de la Russie sibérienne à la Mandchourie. Elle est aussi présente dans le cours supérieur du Mékong.
Le polymorphisme (ou polychromatisme) chez les cichlidés d’Amérique centrale n’est pas unique pour les espèces du complexe citrinellus-labiatus du Nicaragua, deux autres exemples sont connus. D’une part, le célèbre Petenia splendida et sa forme orangée, de l’autre la forme endémique blanche à orangée ou mouchetée de l’espèce Vieja fenestrata du lac Catemaco au Mexique.
Petit amphibien charmant que l'on voit de plus en plus dans nos aquariums. Coup de projecteur sur cet animal fascinant, complètement aquatique et encore peu connu.
Qui est-il, d'où vient-il ?
Certains l’appellent « carpe japonaise ». Pourtant, le mot « Koï » est d’origine chinoise. Les japonais utilisent le mot « Nishikigoïs ». Selon la légende chinoise, les carpes du fleuve Jaune, remontent le fleuve, et s’envolent vers le ciel en se transformant en dragons.
Ils sont communément appelés « Discus » pour leur corps arrondi. Leur reproduction était difficile au départ : elle s'est largement simplifiée grâce aux anciens qui ont communiqué leur savoir, mais surtout grâce aux nouvelles techniques aquariologiques et aux appareils de traitement de l'eau, notamment l'osmose inverse ou la régulation du pH par le CO2.
Les espèces de la famille des Loricariidae sont totalement ou en partie caparaçonnés par des plaques osseuses. Ils sont regroupés dans une famille riche en genres (118 dont 24 synonymes) et espèces. Cette famille est divisée en six sous-familles.