En Belgique, les extrémistes végans viennent de triompher
Depuis le 1er juin, il est obligatoire de passer par un lieu agréé ou par un refuge pour acquérir un animal. En effet, une nouvelle mesure interdit de vendre ou donner un animal sur via Internet et les réseaux sociaux. Le ministre wallon en charge de l'Aménagement du territoire, de la Mobilité et du Bien-être animal, explique que la vente sur les réseaux sociaux favorise l'acquisition impulsive d'animaux, et multiplie par la suite les abandons.
Le prétexte est toujours le même : trop d'abandons de chiens justifieraient une interdiction de vendre tous les animaux sur petites annonces internet.
Pour les animaux de basse-cour, par exemple, s'il n'y a plus d'annonce sur internet ou dans les journaux, il n'y a plus d'éleveurs de loisirs de races locales anciennes. Si on ne peut pas vendre, on n'a pas l'argent pour nourrir la génération suivante. Visiblement les technocrates ne connaissent pas cette vérité.
Dans l'article, on voit particulièrement bien que les végans, pseudo libérateurs des animaux, diffusent les mêmes demandes mortifères d'interdictions partout en Europe et utilisent les mêmes moyens juridiques : changer le statut juridique des animaux dans le code civil pour pouvoir mener des procès en leur nom..... pour détruire un maximum d'élevages et empocher de l'argent.
En France, il est probable que les végans vont remettre le paquet sur les demandes d'interdictions de petites annonces.